~ cliquez sur le titre.
→ Étoile d'Ambre alias Ambrouille, fondatrice
→ Étoile Tigrée alias Tigrou, co-fondatrice
→ Cœur-de-Tempête alias Tempy, administratrice
→ Cœur des Anges alias Angel, administratrice
→ Nuage de Buée alias Peanuts, administratrice
→ Étoile du Papillon alias Honey, administratrice
→ Poil de Loutre alias Loutry, administrateur
→ Baie Sauvage alias Sauvi', modératrice
→ Nuageux Nuage alias Nuage, modérateur
→ Nuage de Nuit alias Night, modérateur
« Au départ, il y avait quatre Clans. Ces Clans n’étaient pas ceux d’aujourd’hui. Il s’agissait du Clan de l’Air, de la Terre, du Feu et de l’Eau. Un d’eux se démarquait des trois autres à cause de ses idéaux différents comme maintenant. C’était le Clan de la Terre. Ses guerriers étaient fourbes et malins. Ceux du Clan du Feu étaient quant à eux puissants, ceux de l’Air étaient rapides et ceux de l’Eau possédaient la capacité unique de nager.
Les règles aussi étaient différentes. Les chefs n’étaient pas désignés pour leurs qualités à mener le Clan, ils étaient les descendants des meneurs précédents. De même, le territoire n’était pas le même que celui actuellement. Mais il était en proie à une terrible menace. Les Bipèdes.
Une nuit donc, les quatre chefs de Clan se rassemblèrent au lieu des Assemblées. Ils discutèrent longuement. Le dialogue fut mouvementé entre les quatre félins.
«
- Sales Bipèdes ! » Tempêta le meneur de la Terre.
« Nous devrions passer à l’attaque !
- Cela est impossible, Étoile d’Ombre. » Répliqua la cheffe de l’Air.
« - Oui, Étoile du Vent a raison. »Un vieux félin venait de prendre la parole. Il s’agissait du chef du Clan du Feu.
«
- Comment ?! Vous vous comportez comme des lâches ! Il FAUT les attaquer ! Sinon, nous n’aurons plus de territoire !
- C’est faux. »La dernière chatte parla enfin.
« - Lors de ma dernière patrouille, ma guérisseuse a eu une vision. Celle de la forêt envahie par des Bipèdes avec dans les mains des sortes de longs bâtons qui faisaient beaucoup de bruit en projetant de petites choses en métal. »Quand le silence se fit, un chef dit gravement :
« Il faut partir. »Cette phrase suscita de nombreux murmures. Finalement, les chefs se mirent d’accord et décidèrent de partir dès qu’ils seraient prêts... »
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